EXPLOSIF : PHILIPPE DE VILLIERS FAIT SON “COMING OUT” ET SOUTIENT LE FREXIT ! | GPTV
Description
Le 7 septembre à 12h30, Mike Borowski vous proposait une émission sur un sujet brûlant d’actualité, en direct sur Géopolitique Profonde.
Une rupture historique dans le débat public
Pour la première fois, une figure médiatique reconnue brise le silence et prononce les mots longtemps interdits : quitter l’Union européenne. Philippe de Villiers a déclaré face caméra : « Il faut partir, il faut quitter l’Union européenne, il faut quitter cette broyeuse » !
Dans un paysage politique où la critique se limite souvent à réclamer des réformes internes, cette prise de position marque un basculement. Elle désacralise l’Union en tant que dogme et offre un point de ralliement à ceux qui se sentaient isolés. L’idée d’un Frexit cesse d’être marginalisée pour entrer dans le débat central.
Ce qui frappe, c’est le ton grave : « Je vous le dis avec gravité et conviction ». Ce n’est pas un simple slogan, mais un acte de rupture assumé. Qualifier l’UE de « broyeuse » révèle un jugement sans appel : ce système détruit au lieu de protéger.
L’effet est immédiat : le tabou s’effondre, l’éventualité du départ devient audible. L’impact est décuplé par la notoriété de Philippe de Villiers, habitué aux débats institutionnels, et qui s’adresse à un large public. Son intervention transforme le cadre du débat et annonce un affrontement idéologique d’ampleur.
La fin du verrou médiatique
Jusqu’alors, les critiques de Bruxelles restaient tolérées tant qu’elles n’allaient pas jusqu’à proposer une sortie. Le Frexit était relégué aux marges, associé à l’extrême radicalité. L’intervention de Philippe de Villiers change la donne : elle légitime l’idée de sortie, la faisant entrer dans le champ du débat national.
Cette parole ouvre une brèche majeure. Elle invite d’autres figures à franchir la ligne. Le verrou médiatique, une fois brisé, est difficile à rétablir. Chaque prise de position ultérieure renforce le phénomène. Le système de censure idéologique vacille, et la remise en cause de l’Union devient un sujet politiquement viable.
Cette déclaration inaugure un possible effet boule de neige. L’idée n’est plus impensable : elle est dite, discutée, envisagée. L’hypothèse d’un Frexit s’installe comme une option parmi d’autres, non plus comme une provocation marginale, mais comme une issue politique crédible.
L’hypothèse d’un basculement européen
Ce moment dépasse le seul cadre français. Quand un pays fondateur évoque sa sortie, l’onde de choc touche tout le continent. Si la France quittait l’Union, l’ensemble de la structure pourrait s’effondrer : euro, PAC, diplomatie, tout repose sur l’implication française.
Sans Paris, l’Union européenne perdrait sa colonne vertébrale. La France étant un contributeur majeur, son retrait ferait tomber le château de cartes. Cette éventualité n’est plus théorique : elle devient concrète, audible, et potentiellement contagieuse.
La déclaration de Philippe de Villiers rappelle que les nations gardent le droit de rompre unilatéralement avec un système qui ne leur convient plus. Si le tabou tombe ici, il peut tomber ailleurs. La mécanique européenne, fondée sur l’illusion de l’irréversibilité, pourrait céder. Le Frexit devient alors le signal d’un possible effondrement de l’édifice communautaire bâti depuis soixante ans.
Ne vous laissez plus manipuler par des élites déconnectées du réel. Découvrez la revue mensuelle Géopolitique Profonde.
https://geopolitique-profonde.com/